Fabricant de Chapiteau de Cirque 

Voici quelques adresses des meilleurs et plus célébre fabricant de chapiteau de cirque du monde 

Fonder en 1926 par Federico Canobbio, l'entreprise Canobbio a tracé une trajectoire remarquable qui l'a conduite aux sommets de la technologie.

Les premiers produits étaient des bâches agricoles et des articles de sellerie, mais ce sont les années 1950-1960, sous la direction de Giuseppe Canobbio et de son frère Francesco, qui ont marqué le passage au textile.

En dépit des défis liés à l'absence de matériaux appropriés, Giuseppe Canobbio a révolutionné la couverture en introduisant le premier chapiteau de cirque, fabriqué à partir de chanvre et de coton, avec des coutures à la machine.

Cependant, l'entreprise ne s'est pas arrêtée là. Des recherches sur de nouveaux matériaux et des méthodes de production ont conduit Canobbio à devenir le premier en Italie à travailler avec des textiles synthétiques. Le nylon et le polyester enduits de PVC, assemblés par soudure à haute fréquence, ont été identifiés comme des matériaux résistants et durables, propulsant l'entreprise au sommet de l'industrie mondiale des chapiteaux de cirque.

L'entreprise, initialement artisanale, a dû se développer pour répondre aux besoins croissants. Parallèlement, de nouvelles technologies ont été adoptées, comme l'utilisation des micro-ondes à haute fréquence pour souder les tissus PVC et la création de structures légères pour couvrir les courts de tennis.

Ces avancées ont permis à Canobbio de travailler sur des projets internationaux de grande envergure.

Depuis les années 1980, Canobbio s'est orienté vers l'architecture textile, participant à des projets de grande envergure et travaillant avec des architectes renommés. L'entreprise a fait un bond significatif dans les années 1990, renforçant sa structure technique et élargissant son réseau professionnel.

Les années 1990 et 2000 ont été marquées par des expériences audacieuses, conduisant à des projets emblématiques comme le Bigo de Gênes et l'Expo de Valence. Le terme d'architecture textile est apparu, et Canobbio a participé à des projets novateurs au côté de grands architectes internationaux.

En 2014, Canobbio a créé Canobbio Textile Engineering pour mieux répondre aux besoins complexes du marché. L'entreprise a continué à évoluer grâce à l'automatisation, l'amélioration des matériaux, et l'exploration de nouvelles applications dans les domaines résidentiel, écologique, climatique et bien plus.

Cette évolution s'est accompagnée de collaborations avec des bureaux de design, des universités, et des professionnels de l'industrie pour participer activement à l'élaboration des normes européennes. Canobbio est fière de ses réalisations passées, mais regarde toujours vers l'avenir avec un engagement continu envers l'innovation et la qualité."

www.Canobbio.com

En 50 ans, les ateliers VSO, initiés en 1964, ont métamorphosé leur artisanat en une expertise exceptionnelle qui les hisse au rang de référence mondiale dans la conception de solutions textiles composites.

Leur ancienneté et leur compétence singulière, conjuguées aux progrès technologiques, propulsent VSO dans une dynamique d'innovation perpétuelle.

Initialement, un modeste atelier de confection de bâches pour la marine, fondé par Gérard et Paule Bourdin, a évolué en un complexe ultramoderne où sont conçus les plus grands chapiteaux du globe.

Aujourd'hui, VSO est devenu un expert en "Haute couture du Bâtiment", partageant la passion des Arts du Cirque et du Spectacle. Les chapiteaux signés VSO sont reconnus mondialement.

Au fil des ans, VSO s'est diversifié, passant des bâches pour la marine aux tentes, structures textiles et architectures textiles sur mesure, guidé par un désir constant d'innover. Grâce à des matériaux modernes et une ligne de production précoce en France, VSO s'est rapidement imposé dans l'industrie des chapiteaux, établissant des relations de confiance avec des acteurs majeurs des Arts du Cirque et du Spectacle.

Les années 1970 ont vu l'entreprise investir dans des installations modernes, tandis qu'en 1988, une association avec la société WALTER l'a propulsée sur le devant de la scène internationale, réalisant des projets emblématiques.

En 2003, face à la faillite de la société WALTER, le groupe BHD a racheté VSO, renforçant ses capacités et sa portée dans les chapiteaux pour le cirque, l'événementiel et l'architecture textile. Cela a positionné VSO comme un acteur de premier plan, axé sur la qualité, l'efficacité et le savoir-faire. Aujourd'hui, l'équipe de VSO conçoit et fabrique des chapiteaux créatifs pour le cirque et l'événementiel, portés par la passion des arts du spectacle et des matériaux innovants et de pointe."

www.vso.fr

Voici l'histoire de Scola Teloni :

C'était en 1880 en italie  lorsque l'entreprise Magri-Poletti utilisait le bâtiment entre la rue Verona et la place Porta Giulia à Cittadella pour coudre d'énormes toiles de chanvre enduites de paraffine et pulvérisées de vitriol pour éviter la moisissure.

On parlait avec les familles de cirque et, crayon à la main, on répondait à leurs besoins.

La famille vivait dans le bâtiment, et à l'étage, il y avait l'atelier où étaient construites les maisons de rêve de nombreux enfants.

Il y avait toute la poésie du cirque et le travail acharné de nombreuses personnes qui  rendaient cela  concrète.

C'était grâce à Magri-Poletti que les spectacles pouvaient braver les saisons et le temps 

Aujourd'hui, Scola Teloni, bien que les noms de famille soient différents, la famille est la même, est située à Gambarara.

La société est dirigée par le couple, Marcello Scola et Elisabetta Grasso, qui travaillent côte à côte avec quatorze employés. Depuis longtemps, le chanvre a été abandonné, et à sa place, il y a le plastique que Scola Teloni achetait à une entreprise italienne jusqu'à l'année dernière, lorsque celle-ci a fermé. Aujourd'hui, la matière première provient d'Autriche et de France, sous forme de gros rouleaux, prête à donner vie à l'imagination des familles de cirque.

En fait, de plus en plus, les clients demandent des tentes (ici chez Scola, ils les appellent des tensostructures, mais c'est la même chose) décorées. Alors c'est l'ordinateur qui fait les premiers pas vers le produit fini, un produit dont le coût peut varier de 40 000 à 250 000 euros rien que pour la toile. La découpe et la soudure sont effectuées dans l'usine de Mantova ,

tandis que la partie metalique  est confiée à un artisan spécialisé.

"Environ 90 % de notre chiffre d'affaires, soit environ 30 cirques par an - explique Elisabetta - est réalisé à l'étranger. Ce n'est d'ailleurs pas une nouveauté pour nous.

Au début du XXe siècle, Antonio Magri est parti en voyage, d'abord en bateau, puis en train, pour aller chercher une récompense à San Francisco. Nous travaillons beaucoup avec des clients français, britanniques, allemands, néerlandais, autrichiens et polonais. Aujourd'hui, en raison de l'équilibre entre l'euro et le dollar,

nous sommes peu compétitifs sur le marché américain, qui se tourne principalement vers les entreprises d'Amérique du Sud." Nul ne doit croire que la nature traditionnelle du cirque imprègne également la production de ces structures. "Depuis quatre ou cinq ans - explique encore Elisabetta - nous avons une machine de découpe, alors qu'auparavant, les découpes étaient faites à la main. Il est clair que la qualité est meilleure, car les tolérances doivent être réduites au minimum." Mais à quoi ressemble la clientèle de Scola Teloni ? Les contacts sont établis avec les familles de cirque, avec lesquelles il faut parler en personne, et à qui le produit doit être livré directement, c'est pourquoi Marcello voyage dans toute l'Europe.

C'est une question de confiance, d'un marché encore constitué de personnes qui se regardent dans les yeux."**

SCOLATELONI.COM

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